Les Lettres DUne Libertine Le Pari (Partie 3/4)
Je suivais donc, à nouveau le sol balisé par des bougies chauffe-plat. La cuisine était calme et mon majordome spécial était affairé à ouvrir une nouvelle bouteille. Moi qui suis déjà bien désinhibée avec les verres précédents, voilà qui va machever !
Je regardais à nouveau la roue et les thèmes qui me restaient à vivre. Il ne restait que« de cuir et de contraintes », « sans les mains », « petites glissades et grands plaisirs » sur la roue. La soirée allait donc finir fort tard au vu de lapproche de lheure du crime quindiquait la pendule à cet instant.
Avec son tablier, mon majordome me remplit un verre dun excellent vin dont je ne souviens plus le nom et me présentait un plateau de fromages gargantuesque.
Bizarrement javais très faim et jai goûté à beaucoup dentre eux avec plusieurs sortes de pain. Il ny avait pas besoin de parler : après leffort, viens le temps du réconfort.
- « Tu mas bien eu avec le dernier thème et jai vraiment cru quil y avait un autre homme à tes cotés ». Il me dévisagea lair très satisfait de sa petite farce. « Tu aurais préféré que cela soit une vraie situation ?
Au point où jen étais, je pouvais lui avouer que la situation mavait plus que passablement excitée.
- « Oui, car même si jai eu des craintes au départ, la suite ma donné vraiment envie
je lai vécu comme si cétait vrai et dabord, tu sais bien que cest lun de mes fantasmes ».
- « OK cest noté » dit-il simplement.
Le vin métourdissait. Il minvita à me lever pour tourner la roue. Je refusais tout dabord, lui disant que cétait parfait, que jétais rassasiée et que jirais bien au fond du lit piquer un petit somme. Il me rétorqua que Le diner nétait pas terminé et que dautres surprises mattendaient.
La roue sarrêta pile sur le thème que je craignais depuis le début de la soirée : « de cuir et de contrainte ». Moi qui ne suis pas soumise pour deux sous, le moment me promettais bien des choses et dont je ne voulais surtout pas, entre lui et moi.
Il changea de ton immédiatement et mordonna littéralement de rester à ma place en me traitant de « chienne ». Et avant que je puisse rétorquer, il était sorti de la pièce. Au bout de 10 minutes je trouvais le temps vraiment très long et livresse me poussait à monter me coucher.
Je me levais, et passais dans le salon. Celui-ci nétait plus sombre et des bougies noires éclairaient notre table en bois massif recouvert dune nappe de cuir noir. Un fouet et une cravache trônaient fièrement dessus me glaçant le sang. Non, non et non ! Pas de çà je lui avais déjà dit ma hantise de ce statut de « soumise ».
Je ne lavais pas entendu revenir, il mattrapa violemment les mains et je sentis ce refermer lacier sur mes poignets comme dans les films policiers. Je protestais et suppliais mais rien ny fit et il menfonça de force un bas et me banda la bouche. Puis il me remit le bandeau de soie sur les yeux. Jétais prisonnière de ma fameuse carte blanche et je savais que rien ne le freinerais désormais. Ha ce fichu pari, combien je regrettais cette victoire qui semblait si facile !
Pour la première fois de ma vie, je me suis prostrée et attendu le début du châtiment.
Une douleur vive marracha à mon attente. Une pince venait de compresser mon téton et lautre ne se fit pas attendre. Je gémissais de douleur et les larmes me montèrent aux yeux. Le salaud, pensais-je, il sait que jai horreur que lon me travaille le téton, y compris en les suçant, surtout « à froid ».
Il membrassa sur la nuque en me disant des mots doux associés à mon statut de « chienne ». Puis je senti quil me mettait un collier comme un chien. Jétais révoltée et me débattais vigoureusement. Une claque sur mon fessier vint me ramener à la raison et une seconde sabattit
en punition, me dit-il. « ne recommence pas çà où tu vas dérouiller ». Le ton nétait plus au jeu de rôle.
Il prenait très à cur son rôle. Il valait mieux que jobéisse, finalement, pour raccourcir ce mauvais moment.
Il me prit dans ses bras et me porta jusque sur la table et my assit. Il me détacha une main pour la rattacher immédiatement à un autre lien situé au coin de la table. Au moins, je navais plus cet acier qui me broyait le poignet. La seconde eu le même traitement. Puis il mécarta les pieds en fixant mes chevilles sur un axe que je ne pouvais voir. Là jétais cuite, à sa totale merci. Javais beau me dire quil était mon mari et que je pouvais avoir confiance, un doute sinstalla dans ma tête. Et si sa perversion nétait plus sous contrôle ?
Je sentis sa main ma caresser le minou avec délicatesse. Il avait pris la précaution de se mettre du gel et cela glissait sur ma fente comme lorsque je me masturbais. Oubliant ma situation, je me concentrais sur le plaisir naissant. Il effleura mes tétons compressés et la douleur, un instant vive, fut remplacée par une onde de chaleur. Cétait étonnant mais cétait bon et le plaisir montait. Il mit 2 puis rapidement 3 doigts dans ma chatte. Je me liquéfiais de plaisir. Il touchait de temps à autre mes tétons qui relançaient une vague en moi. Cétait incroyable la montée était lente mais très intense et je savais que lorgasme serait dévastateur.
Puis le contact glacé du métal. Il mintroduisait quelque chose dans la chatte en le laissant glisser dans le creux de la paume formé par ses 3 doigts déjà dedans. Au bruit je devinais quil sagissait dune chaine. Maillon par maillon il memplit le minou. Cétait horriblement froid mais très excitant. Le poids poussait mes parois vers lextérieur et il me remplissait de plus en plus.
Il manipulait en même temps mon gode anal et je sentais que la montée vers lorgasme avait reprit. Jétais remplie coté minou, cela mappuyait sur la vessie et je sentais le Plug qui cognait sur les chaines au travers de ma paroi vaginale.
Il retira le Plug anal et inséra son sexe très chaud et bien dur à la place. Jai adoré ! Il commença un va et vient, lent, mais très profond. Son sexe poussait les maillons de la chaine situés au dessus. Quel bonheur, la montée puissante reprenait, je ruisselais de plaisir, gémissais et lencourageais à venir taper ses couilles sur mon fessier en loffrant plus en avant. Soumise et bien prise, je nétais plus quune boule de plaisir prête à éclater.
Un des maillons venait littéralement frotter et sappuyer sur mon point G et cela me provoquait une surexcitation vaginale. Il poussa les pinces sur mes seins et le plaisir augmenta, je ne maîtrisais plus mon corps et des spasmes de bonheur me parcoururent. Il libéra dun geste habile et rapide mes seins de leur et cest là que lorgasme éclata. Des spasmes contractaient mon vagin autour de la chaine, je sentais sa queue qui me labourait lanus et mon clito laissa fuser un jet puissant qui vint le surprendre. Il se retira tout net, interloqué, pendant que je finissais de jouir et rejouir. Mon bas ventre était une convulsion géante.
Il libéra mes membres de leurs attaches. Je mécroulais à bout de fatigue tellement cela avait été intense. Jétais aussi au pic de la gaité dans livresse. Plus rien nimportait, jétais comblée jusquau plus profond de moi-même.
Il retira bâillon, bas et bandeau et je découvris ce que la colère ne mavait pas permis de voir. Il sétait fabriqué une tenue faites de lanières de cuir reliées par un savant cloutage et ses bourses étaient enserrées dans un tube de cuir relié à la hampe de la verge par deux anneaux en inox. Jai adoré ce « costume » et un sourire éclaira mon visage que les traces de rimmel avaient conquis. Il ma fait mettre à genoux et jai obtempérée sans rechigner. Il na pas eu besoin de me forcer à le sucer. En soumise que javais aimé être, jai sucé, nettoyé sa verge de toute mes sécrétions puis je lai branlé.
- « Tu noublieras pas de retirer toutes tes chaines et rejoins moi dès que possible». Le ton était redevenu celui du majordome du départ.
Jécartais mes cuisses tout en restant à genoux et jaccouchais, dans cette position, dun bon 2 mètres de chaines en inox à gros maillons. Ce nétait pas vraiment agréable ! Elles étaient ruisselantes dune mouille épaisse et collante et surtout très chaudes. Jétais soudainement plus légère et filais à la douche laissant cet antre de derrière moi.
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